La médiation, vous en entendez parler. A mi-chemin entre le droit, que justifient des professionnels conservateurs des règles au demeurant fluctuantes, la morale, qui masque les biais cognitifs des représentations confessionnelles, et les normalisation psychosociologiques qui malmènent les individualités, les médiations traditionnelles sont médiatisées avec la détermination de préserver un modèle de pensée fondé sur la “gestion des conflits”. Ce mélange n’est pas hétéroclite : il justifie l’ensemble des biais cognitifs qui façonnent un modèle de pensée promoteur des rapports d’allégeance et de “servitude volontaire”. Mais il existe une autre forme de médiation, professionnelle celle-là, fondée sur l’ingénierie systémique relationnelle® qui initie la qualité relationnelle. Or, désormais, des découvertes multiples en sciences (mathématiques, géométrie, neurosciences) valident cette approche opérationnelle déjà déployée dans de multiples organisations en France et en francophonie.
Une démonstration neuroscientifique et ajustative
Quand les neurosciences rencontrent l’ingénierie de la pensée humaine, elles confirment ce que la médiation professionnelle expérimente chaque jour : la pensée humaine ne se contente pas de juger, elle ajuste. Et c’est dans cet ajustement que réside le véritable moteur de la qualité relationnelle, de la décision, et de la liberté.
Une étude de 2025 menée par Yanagisawa, Abe et leurs collègues (Université de Kobe) …read more